Bras dessus, bras dessous, en route pour Savigny

Le carrosse de Buzançais était venu chercher Bubul au castel de Bourges.
Des cavaliers et de la piétaille l'entouraient pour l'escorter.
Bubul monta à l'intérieur et le cocher fit prendre direction du carrosse vers la taverne des Fiers berrichons.

Arrivé sur place, Bubul descendit prestement et frappa aux appartement d'Agnesia, qui se trouvaient à l'intérieur, lorsqu'elle venait sur Bourges les derniers temps.
Il frappa à la porte de la chambre et se fit entendre.

Agnesia ma Douce, c'est moi.
Etes vous prête ? Nous devons partir pour Savigny.
Je n'aimerai pas estre en retard pour la chasse à cour auprès de vos Père et Parrain.

Il attendit patiemment derrière la porte qu'elle daigne lui répondre et ouvrir.

Bubul monta à sa suite dans le carrosse.
Un frisson le parcourut lorsqu'elle déposa sa main sur sa cuisse.
Tout en lui souriant, il déposa délicatement sa main sur la sienne. puis lui offrit le plus sensuel des baisers.

Puissiez vous avoir raison Ma Douce.
Que les Noldor masculins ouvrent les yeux sur la réalité.

La regardant dans les yeux., un petit sourire se dessina...

Autrement, ma rame est toujours dans mes bagages de voyage.




Après quelques heures de voyage, sans encombre, le domaine de Savigny pointait le bout de son nez à la sortie de la forest.
Le cocher stoppa le véhicule à l'entrée de la grille.
Il héla le garde d'une forte voix, qui semblait dormir.

Ohé de la grille !
Veuillez ouvrir à dame Agnesia de Noldor et au baron Bubul d'Arundel des Olonnes

Se retournant pour parler aux nobles personnalités qui se trouvaient dans le carrosse.

Je suis navré que ce soit si long, mais ils n'ont point l'air rapide à l'entrée.

Gontran, le cocher de Buzançais, agrippa le fouet qu'il avait toujours à sa ceinture.

Non mais manant !!!
Comment oses-tu interdire le domaine à la propre fille du seigneur des lieux.
Souhaites-tu que je te fouette pour te faire retrouver la raison !!

Tu n'as aucune raison de savoir ce qui les amène !!!
Tu lui dois aussi respect et obéissance, que diantre !!!

Alors t'obéit et t'ouvres !




Bubul entendait les cris émanant de l'extérieur du carrosse.
Se tournant vers Sa Tendre Moitié.

Je pense que vous devriez intervenir Ma Douce.
Nous sommes ici chez vous.

Il avait la rame qui le démangeait.

un manant moi tien donc sort son épée peut être que messire le cocher veux sortir son épée aussi pour régler cela ?

et tout ce que je vois c est le carrosse du Baron Bubul qui na pas annoncer sa visite a l avance et entant que garde je suis endroit de demander ce qui vaux cette venus , et concernant dame Agnesia je n obéit qu au Vicomte et personne d autres .
regarde le manant qui conduit ce carrosse

maintenant si dame agnesia souhaite elle peux descendre du carrosse et rentré

le Vicomte voudra surement lui parler dans son bureau .

S approche de savary et lui mets la main sur son epaule

et bien trees cher garde ranger donc ceci et ouvrez l eur la porte.

et conduit les ou il doive etre conduit tu veux bien faire ça

puis il prit place a coter du coacher autant ce s ervire du carrossse pour eviter de marcher

Son doux regard posé dans celui du baron, agnesia ressentit la chaleur de sa main venir se déposer agréablement sur la sienne ce qui la fit sourire d’avantage avant de recevoir un baiser sensuel de l’homme de son cœur dont elle prolongea sans aucune hésitation. Elle savoura ce moment intime tout près de lui à l’abri des regards en gardant sa main posée sur sa cuisse.

« J’espère de tout cœur qu’il acceptera. Je vous aime tellement. »

Entendant les mots qui suivirent, un sourire amusé se dessina sur ses lèvres.

« Ah non, point de rame mon cher et tendre aimé. Vous risquerez d’attirer son courroux. »

Le trajet en carrosse avait durée quelques heures, fort heureusement sans encombre jusqu’à enfin arriver au domaine de Savigny. Un sentiment d’inquiétude commençait à germer dans l’esprit de la jeune fille qui était partie du domaine pour une simple visite de la capitale avec le Baron et qui secrètement, une double raison y était présente.
Arrivant devant l’entrée du domaine, elle entendit les cries provenant de l’extérieur entre le garde et cocher. Agnesia savait bien qu’elle n’avait pas le pouvoir sur les gardes de son père qui obéissaient totalement au vicomte toutefois ayant la présence de son tendre, elle se pencha vers la grande lucarne en poussant le rideau rouge de sa main libre en exprimant de sa voix douce mais ferme

« Cesse de râler Savary ! Dépêche-toi d’ouvrir cette grille, nous venons voir mon père. »

A peine dit ces quelques mots qu’elle perçut Vincent ordonné de les laisser passer. Sentant le carrosse s’avancer, elle se replaça naturellement près du baron jusqu’à sentir le carrosse s’arrêter de nouveau cette fois ci devant les quelques marches qui cascadaient la grande entrée du castel. Le cocher de Buzancais se hâta pour venir ouvrir le coche à son maitre. ..

La porte ouverte, Agnesia laissa le baron descendre en premier avant de le suivre en y sortant à son tour. Elle aperçut vincent dans la cour quand un autre carrosse arriva après eux. Son regard se dévia vers cette direction et y remarqua angelina, la sœur de son tendre faire son apparition. Elle adressa un sourire avant de prendre le bras du baron.

« Merci de nous avoir fait entrer, Vincent. Nous devons à présent vous laisser, nous sommes attendus.. »

Elle engagea le pas vers le grand bureau de son père qui attendait notre visite.

Bubul reconnut le barbu blond. Il ne s'agissait que du bon Vincent, un ami cher à son coeur, et un super BF.
Il lui fit l'accolade en guise de salutations dignes et distinguées et en profita pour lui faire une tite léchouille.

J'espère que tu vas bien Vincent ... Je vois que ma soeur arrive aussi.
Un grand jour que celui ci à venir j'espère.

Il sourit à Vincent et lui demanda d'embrasser sa soeur pour lui.

Désolé je ne peut rester, on va etre en retard.
Et quand dame veut, on s'éxecute sous peine de coups d'ombrelles.

petits rires...