Bardieu salua l'homme, qui fit ouvrir en grande pompe la grille, alors que lui, modeste moine, se serait contenté du portillon. Par respect pour Savary, il passa exactement à l'endroit du portillon. Ainsi, il montrait, ou du moins espérait, à Savary son intime humilité.
Mon frère. Bardieu fit un signe de bénédiction. Je vous remercie de votre accueil. Pourriez vous me montrer où monseigneur a sa pièce pour recevoir les visiteurs, s'il vous plaît ? A peine avit il dit cette phrase qu'un autre homme arriva à côté du garde. Oh, mon frère, quel plaisir de vous rencontrer. Si vous souhaitez me servir d’escorte, sachez que j'en serai honoré. Passez devant, je vous suit... à mon rythme.
Bardieu laissa avec regret son âne, bie pratique, mais le voyage étai quasiment achevé.